
Le 20 mai depuis Hiroshima, symbole cataclysmique d’un désastre nucléaire militaire, le communiqué du G7 a, plus clairement que jamais et malgré les réticences de la France, stigmatisé Pékin, qui s’en est publiquement offusqué, promettant de formuler une protestation officielle auprès du Japon pays hôte et « des autres parties concernées ».
Chiffon rouge qui heurte de plein fouet le souverainisme anti-occidental du Parti, la déclaration d’Hiroshima se dit « gravement préoccupée » par les atteintes aux (...)